Avant la thérapie chaque blessure de vie me limitait « je ne veux plus jamais revivre ça »,  aussi bien professionnellement que dans la sphère amicale et amoureuse. A ce moment là ma vie partait dans tous les sens et je ressentais un mal être diffus.

J’avais déjà tenter des psychothérapies qui ne m’avait pas convenue et du développement personnel qui était souvent mal cadré et assez violent.

Et puis j’ai rencontré Sylvie, elle travaillait en Gestalt. Au début lui faire confiance était pour moi dangereux, il nous a fallut nous apprivoiser. Ce qui m’a vraiment aider est qu’ en Gestalt, le thérapeute travaille avec ses propores émotions, c’est ce qui m’a permis de me lier à Sylvie. Une fois cette alliance faite, la thérapie à pu commencer.

J’ai pu déplier mes blessures et mes traumas, puis apprendre à me comprendre et à comprendre les autres. Ensuite je suis passée à la vitesse supérieure avec de la thérapie de groupe, en effet les résonances avec les histoires des autres, leur point de vue, les désaccord ont été très riche d’enseignements et m’ont permis d’aller regarder dans mes profondeurs.

J’ai choisi l’EPG, j’y ai fait mes trois cycles. La formation a été très intense aussi bien dans les prises de consciences, que dans la richesses des rencontres.

lors de cette formation j’ai écris un mémoire sur le désordre et un article sur la culpabilité dans les familles incestuelles.

J’ai en même temps explorée d’autres courant thérapeutique et cela enrichi ma pratique et me conforte dans mon choix de la Gestalt.

J’ai pu me poser, gagner en sérénité et je me sent ancrée. Maintenant les crises et les aléas de la vie me touchent mais ne m’emprisonne plus. J’ai remplacé le « je ne veux plus jamais revivre ça », par « tiens, qu’est il en train de ce jouer là ? que suis-je en train de vivre ou de revivre ? »  ce qui m’ouvre un champs de possibilité et d’action et même parfois et de l’émerveillement.